Portraits d'engagés à l'Ufcv

Témoignages de salarié

Témoignages de salariés

  
Cyril Gaffet
Responsable Vacances Enfants et Jeunes

Cyril est Responsable Vacances Enfants et Jeunes sur le site rouennais de l’Ufcv. Dans son portrait, il évoque son parcours au sein de l’association, les différentes facettes de sa nouvelle mission, le challenge que représente la période des grandes vacances, et la solidarité qu’il trouve auprès de ses collègues !

Peux-tu te présenter et nous parler de ton parcours à l’Ufcv ?   


Je m’appelle Cyril, je suis originaire de Picardie et j’ai 24 ans. Je suis entré dans le monde de l’animation volontaire à 16 ans. Après avoir passé mon Bafa, j’ai suivi un DUT en Carrières sociales et parallèlement, j’animais dans des accueils de loisirs et des colos. 


Je suis devenu formateur pour l’Ufcv en 2015 et deux ans plus tard, après l’obtention de mon diplôme, j’ai rejoint les rangs de l’association à Rouen en tant que Coordonnateur des formations Bafa~d. L’année dernière, après une belle expérience sur cette activité, je suis devenu Responsable des Vacances Enfants Jeunes. Je m’occupe du secteur pour les régions Hauts de France, Ile-de-France, Bretagne, Normandie, Pays de la Loire et Centre Val de Loire !

Qu’est-ce qui t’a donné envie de rejoindre l’Ufcv ?


Lorsque j’ai commencé mon DUT, j’avais dans l’optique d’exercer le métier de Coordo. Quand j’ai passé mon approfondissement Bafa, j’ai beaucoup apprécié les méthodes de formation proposées par l’Ufcv. Je me suis senti accompagné, écouté par mes formateurs ; cela m’a donné envie de m’investir à mon tour pour cette association et de transmettre tout ce que j’avais appris ! Au-delà de mon engagement dans la formation, je voulais être dans « les coulisses » et c’est pour ça que j’ai rejoint l’Ufcv en tant que salarié.

Peux-tu nous présenter l’activité pour laquelle tu travailles ? En quoi consistent tes missions ? 


Le cœur de mon métier, c’est évidemment les colos, et notamment les relations avec les adhérents. 

Sur mon territoire, je travaille avec 14 adhérents, pour lesquels je gère la mise en avant et la commercialisation d’une partie de leurs séjours. Au jour le jour, cela signifie que je les accompagne, les conseille, mais aussi que j’assure le suivi et le respect des conditions de l’agrément qualité de l'Ufcv. Je m’occupe également de la production de séjours internes à l’association.

Enfin, j’ai à ma charge toutes les missions classiques d’un responsable d’activité : je gère le budget de mon secteur ainsi que la programmation, et je représente l’association auprès des partenaires et des services de l’État.

Quelle est la plus grande satisfaction de ta vie professionnelle à l’Ufcv jusqu’à présent ?


Je dirais que c’était cet été. La période estivale est, de manière générale, intense sur l’activité car c’est bien sûr la période des départs en vacances. C’était une première pour moi à ce poste, et c’était un gros challenge en raison de l’enjeu ! Travailler à l’Ufcv, ce n’est pas comme bosser dans une boîte classique. Annuler un séjour que des enfants ou des ados ont attendu toute l’année, ce n’est pas envisageable ! À la fin de l’été, j’ai donc ressenti une petite fierté à me dire que 370 gamins ont pu partir en vacances grâce au travail réalisé ! On a relevé le défi.

Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton travail ?


La solidarité entre collègues ! Leur bienveillance, leur soutien... 

Cet été, une cinquantaine de personnes m’ont aidé à relever le défi. J’ai eu par exemple un problème d’assurance 10 jours avant le départ d’un séjour à l’étranger. Le séjour risquait l’annulation. Les collègues des Vacances Adaptées à Besançon m’ont proposé d’échanger nos minibus, avec tout ce que cela pouvait avoir de contraignant de leur côté, pour que les jeunes puissent bien partir. C’est ça l’esprit Ufcv : 99.9% du temps, il y aura toujours un collègue pour prêter main forte ! 

Trois mots pour résumer l’Ufcv ?


Alors, tout d’abord « rencontres », parce que je fais énormément de belles rencontres à l’Ufcv. Ensuite, « engagement » : celui des collègues qui ne comptent pas leurs heures et celui de nos volontaires engagés. Et enfin « plaisir » : parce qu’il en faut, et que j’en prends beaucoup en travaillant à l’Ufcv !